DD5 à la sulfateuse
Publié : 20 juin 2014, 12:49
Toujours pareil, je commente ici 
Très bon article, qui permet de ne pas perdre de vue que la 5e Ed arrive déjà.
Drôle de se dire que je découvre le d&d à l'âge de 12 ans avec la 3e Ed, et que je vais déjà être démodé de deux éditions alors que j'ai 23 balais. Mais je retrouve dans ce processus quelque chose qui m'avait aussi beaucoup frappé sur WoW, avec cette frénésie de sortir du nouveau contenu, même lorsque tout le monde était heureux avec ce qui était déjà en place. Ce besoin presque contre-productif de nous vendre une extension à 60€ pour voir deux millions de joueurs se barrer trois mois plus tard en gueulant "putain ça devient vraiment n'importe quoi".
L'attachement sentimental est la colonne vertébrale de la fidélité client au jeu de rôle (online ou sur table d'ailleurs). Or, ces bouleversement constants sont toujours ressentis comme une perte, comme un déchirement pour le joueur qui a construit quelque chose pendant X temps, tout d'un coup balayé, démodé.
Ce qui m'a fait arrêter WoW, notamment, c'est un patch qui a modifié la classe que j'avais choisit de jouer depuis 3 ans en supprimant un des aspects pour lesquels je l'avais spécifiquement choisie. Et on avait beau me dire "non mais c'est mieux comme ça", c'est pas pour ça que j'avais signé.
Dans D&D on en revient plus ou moins à la même idée. Même s'ils sortaient une édition potable, c'est un projet qui se ferait évidemment au mépris des anciens joueurs, et dans la recherche uniquement d'une conquête de nouveaux clients. C'est ne pas comprendre que les fameux "nouveaux clients" achètent des PS4 plus que des boîtes de DD5.
Bref, à part ça, un petit
pour un passage qui m'a fait m'étrangler de rire :
Du lourd

Très bon article, qui permet de ne pas perdre de vue que la 5e Ed arrive déjà.
Drôle de se dire que je découvre le d&d à l'âge de 12 ans avec la 3e Ed, et que je vais déjà être démodé de deux éditions alors que j'ai 23 balais. Mais je retrouve dans ce processus quelque chose qui m'avait aussi beaucoup frappé sur WoW, avec cette frénésie de sortir du nouveau contenu, même lorsque tout le monde était heureux avec ce qui était déjà en place. Ce besoin presque contre-productif de nous vendre une extension à 60€ pour voir deux millions de joueurs se barrer trois mois plus tard en gueulant "putain ça devient vraiment n'importe quoi".
L'attachement sentimental est la colonne vertébrale de la fidélité client au jeu de rôle (online ou sur table d'ailleurs). Or, ces bouleversement constants sont toujours ressentis comme une perte, comme un déchirement pour le joueur qui a construit quelque chose pendant X temps, tout d'un coup balayé, démodé.
Ce qui m'a fait arrêter WoW, notamment, c'est un patch qui a modifié la classe que j'avais choisit de jouer depuis 3 ans en supprimant un des aspects pour lesquels je l'avais spécifiquement choisie. Et on avait beau me dire "non mais c'est mieux comme ça", c'est pas pour ça que j'avais signé.
Dans D&D on en revient plus ou moins à la même idée. Même s'ils sortaient une édition potable, c'est un projet qui se ferait évidemment au mépris des anciens joueurs, et dans la recherche uniquement d'une conquête de nouveaux clients. C'est ne pas comprendre que les fameux "nouveaux clients" achètent des PS4 plus que des boîtes de DD5.
Bref, à part ça, un petit

J’avoue, je suis mauvaise langue car D&D 5 innove quand même un peu. Par exemple, le Paladin n’y a plus besoin d’être Lawful Good. Chouette, non ? J’espère juste qu’ils feront la même chose pour l’Anti-Paladin : j’ai toujours rêvé de jouer un Antipal lawful good…
Du lourd
