Cet article a été repris et légèrement mis à jour depuis l’ancien site de l’Encyclopédie de Derenworld.
S’agissant des règles, le monk sur Derenworld est joué en 1e edition selon la version modifiée par Eric Meyers (parue dans Dragon Magazine n°53), dont une copie est fournie dans la section Documentation, accessible pour tout utilisateur connecté.
Le 10/12/2022 : ajout d’une liste précisant l’adaptation de la classe à la règle « 2bis ».
Les Monks sont à l’origine une émanation directe de la Philosophie Naïgaki (Okina-Do). Celle-ci prône, parmi d’autres aspects de son enseignement, la maîtrise par l’individu humain de son corps (Naya).
Vis à vis de l’image renvoyée par les elfes, les Naïgakis pensaient que les humains n’avaient pas à faire un complexe de leur brève durée de vie. La durée de la vie d’un homme est, pour un Naïgaki, ni longue ni brève : elle est, en tant que telle. Il s’agit d’un phénomène naturel ; « envier » les elfes revient donc à renoncer à sa condition humaine, à refuser d’être soi-même, et à vivre dans l’erreur.
Cette durée porte en elle sa propre mesure, son début et sa fin. En tant que vie, elle est entièrement semblable à celle de tout être vivant, elfes y compris. La durée prétendument objective de celle-ci n’a pas de valeur réelle ; seul compte le point de vue subjectif, auquel la vie d’un être se mesure : ce qu’on a fait du temps imparti. Par boutade, un Sage Naïgaki déclara que de son point de vue ce sont peut-être les elfes qui vivent beaucoup trop longtemps.
La durée du laps de temps de chaque être vivant, de chaque individu, n’importe donc qu’en rapport à son usage et son utilité, l’inaction ou la simple survivance animale étant elle aussi une utilité entièrement légitime. L’inspiration de la vie n’est pas à rechercher dans un modèle spirituel ou éthique préconçu, telle la religion ou les moeurs. Apprendre et approfondir l’usage de son corps, c’est à dire la première chose matérielle (et peut-être la seule) dont on soit sûr, est d’abord primordial. C’est la première priorité.
La Philosophie Naïgaki s’oppose aux fondements de la majorité des autres civilisations et races, notamment elfes.
Pour les elfes, pour les nains, et pour la plupart des autres peuples, la domestication de la nature, de son environnement, constitue la priorité, que ce soit avec des haches, des marteaux ou de la magie. Le pouvoir sur la matière et sur l’environnement est conçu dans un rapport d’opposition, voire de force.
Pas pour les Naïgakis et moins encore pour les Monks, qui ne raisonnement pas en termes d’assujettissement ou d’opposition mais de syncrétisme et de conciliation. Selon eux, le contexte, l’outil, le désir ou la peur, le début ou la fin, renvoient toujours à l’homme, à l’individu dont le destin est d’abord celui de sa propre complétude. Le corps et l’esprit se doivent d’être aussi indissociables qu’ils sont dissociés du reste, c’est à dire de ce qui lui est extérieur : le monde. Il faut parfois plus long qu’une vie pour parvenir à concilier tout cela. » Ce n’est qu’en sachant comment entendre le chant des oiseaux que le Disciple entendra le chant des oiseaux » (Okina-Do, XLIV, 24)
Apprendre à connaître, approndir et maîtriser son esprit n’est certes pas une grande nouveauté. Mais que ce processus s’opère simultanément dans le corps et dans l’esprit, cela est incontestablement une trouvaille Naïgaki.
Il est aussi probable que ce sont les Naïgakis qui les premiers découvrirent ce qu’on appellera plus tard les capacités psioniques et surent éduquer les individus qui en avaient reçu le don. Les préceptes de leur philosophie aboutirent ainsi à une maîtrise du corps et de l’esprit humain devenues ce que le commun appelle vulgairement » psionicisme » et » monkisme « .
Les conceptions naïgakies furent longtemps transmises et améliorées oralement au cours des siècles . Elles furent plus tardivement compilées et agrégées par des scribes au sein d’une collection appelée Okina-Do, « la voie des ensembles », plus généralement appelée « Philosophie Naïgakie » devenue au fil des siècles une sorte de code pour les monks. Toutes les sources en sont anonymes.
La Philosophie Naïgaki se répandit non seulement en Gaïko, dont elle est originaire et où elle contribue encore aujourd’hui au ciment culturel, mais aussi en Vizan et dans le milieu du continent jusqu’à atteindre Zevjapuhr ou Dürfalls.
Dès le XXVIIe siècle on trouve des Yamakutsis, penseurs demeurant dans des monastères voués à la méditation et à la spiritualité, sur les sites de Zevjapuhr, Gelkard, Viris. Leur ascétisme, leur assurance, leur simplicité séduisaient souvent bien davantage les humains que les étrangetés des elfes, le mercantilisme des nains, le laisser-aller des Wejles, le systématisme Zahire ou la brutalité franche des Variks.
D’autre part, les Yamakutsis trouvèrent, particulièrement en Vizan, des éléments religieux et mystiques issus du Trithéïsme qui s’avérèrent fort compatibles avec leurs conceptions. Les Zahires de Vizan rejetaient en effet l’aréopage des dieux elvo-humains censés prétendre à une direction du monde triumvirale (avec les mages et les politiques), et toute organisation d’un monde régenté par l’Ohar’s Scroll. Or le Monk est lui-même fort éloigné de tous êtres et croyances qui pensent le monde » dirigeable » pour mieux oublier de se diriger eux-mêmes.Néanmoins, ce n’est qu’après la disparition du Gaïko en tant que puissance indépendante que les Yamakutsis s’organisent en ordre supranational : le Tao-Doj, se fondant sur l’exemple social des clergés dont ils rejetaient les préceptes mais dont ils avaient compris l’utilité pratique.
Vers le XXXVIIIe siècle, après les invasions et ravages hornstiens, nombre de Yamakutsis se constituent en « classe » de combattants-spirites suivant la hiérarchie d’un ordre dirigé par un monastère. Cependant la plupart d’entre eux vivent en réalité hors de ces monastères ; ce sont les taïketshis (les « non-internes ») qui deviendront sans cesse plus nombreux au point que l’appellation de yamakutsi ne signifiera bientôt plus qu’enseignant.En même temps, ces établissements conservent et développent les aspects de l’Okina-Do qui incarnent les préceptes fondateurs des Yamakutsis. Et ils le font si bien que ce sont eux qui inventent le système des » niveaux » et titres qui vont avec, système de reconnaissance et de progression que l’on retrouvera assez vite dans des corporations proches ou bien différentes.
Le Tao-Doj se structure ainsi d’un côté en Yamakutsis, moines-résidents, éloignés du monde, enseignants, philosophes, penseurs, mentors, et de l’autre en Taiketshis, externes qui viennent recueillir l’enseignement afin de le répandre ensuite ou l’exercer en pratique dans le monde. Car avec les guerres et les vicissitudes, être taïketshi devient bientôt un métier : la plupart des monks qui sortent des monastères sont en réalité des combattants, dans les faits comme dans l’esprit. Combattants aussi pour une certaine façon de voir le monde et la société des hommes, combattants au service d’une tradition multimillénaire, d’une façon de vivre originale et, on le verra plus tard, d’une éthique.
Les Monks ne méprisent pas ni ne se sentent ennemis des races ou peuples différents d’eux. Ils se sentent différents, ni plus, ni moins. Ils ont choisi leur voie et ils en sont sûrs ; sûrs de son authenticité, de sa vérité, de son ultime bien-fondé. Un Taïketshi ne se bi-classe jamais et n’abandonne jamais sa classe. Qui devient Taïketshi mourra Taïketshi.
Il n’y a rien de pire pour un Monk que de vivre dans l’erreur, d’autant qu’il tient que la plupart des humains vivent dans l’erreur. En cela, son approche est assez voisine des prêtres vis-à-vis de leur religion, à ceci près que le Monk est (à cette époque) le plus souvent tolérant : sa conception de l’erreur est fondamentalement individuelle et qui n’a pas eu la chance, la volonté, ou la capacité d’être Taïketshi, ou mieux : Yamakutsi, ne saurait en être blâmé. En fait, la seule intolérance des Monks s’opère entre eux, entre les trois ordres qui résultent des scissions du Tao-Doj originel, intervenue dès 3910.
La scission des Monks est en fait le résultat indirect de l’action de Horsnt Soulslayer. Ces événements, qui secouèrent Derenworld, ne pouvaient laisser indifférents même des personnes aussi peu intéressées par la chose politique que les Yamakutsis bien que pour certains, Hornst Soulslayer ne soit qu’un avatar (au sens usuel) des vicissitudes d’une humanité globalement et irrémédiablement plongée dans l’erreur.
Aux tenants d’une stricte orthodoxie de l’inaction politique s’opposèrent les partisans d’une action concrète, impliquant une insertion dans la réalité des préceptes de l’Okina-Do, quitte à les voir évoluer ou à les bousculer quelque peu. La plupart de ces novateurs avaient combattu Hornst ou ses séides ou encore venaient de territoires qui avaient eu à en subir les tragiques effets. Cependant, ils demeuraient profondément attachés à une certaine liberté de penser et respectueux de l’antique hiérarchie du Tao-Doj. Ainsi, plutôt que de révolutionner l’Ordre, ils préférèrent fonder le leur, les White Monks, ceux vêtus de blanc.
Les White Monks, à l’idéologie Lawful Good, tiennent pour nécessaire l’inscription de la philosophie des Monks dans la réalité, au nom d’idéaux collectifs autant qu’individuels. Ce sont les plus sécessionnistes des Monks, les plus éloignés de la forme originelle de la haute époque Naïgaki. Certes, ce n’est pas à l’échelon de l’Ordre mais à l’échelon individuel que l’insertion et l’action dans la réalité sociale peut s’accomplir, et bon nombre d’entre eux demeurent reclus dans des monastères. Mais il n’en reste pas moins que le White Monk, un peu comme le Paladin, obéit sur un plan personnel à des préceptes spirituels qui non seulement lui permettent d’agir dans la réalité sociale mais lui en font même parfois obligation.
Pour le White Monk, la réflexion et la méditation pure, s’ils s’opèrent dans l’éloignement du monde, sont stériles et vains. Il y a aussi un temps pour l’action, pour l’inscription dans les faits, pour l’insertion dans la réalité quotidienne. Les White Monks ont introduit le volontarisme dans l’Okina-Do. Ils acceptent de compromettre leur pureté matérielle, tant que celle de l’âme et de l’esprit demeure intacte. De même que le corps est un intermédiaire avec le monde matériel, l’esprit, doué de parole et de communication, doit être intermédiaire avec le monde social, et apte à y agir. A cet égard, l’antique Tao-Doj, collectif inerte et incapable de comprendre et d’orienter cette action, ne pouvait convenir aux White Monks.
D’autres opposants reprochaient à la ligne classique du Tao-Doj un passéisme qu’ils jugeaient totalement irréaliste. Leur critique, rejoignant sur le principe celle des White Monks, en différait profondément au sujet de l’insertion sociale de l’action des Monks. Ces opposants pensaient disposer d’un outil idéal, le Tao-doj , non seulement pour structurer et représenter les Monks, mais aussi pour agir vis-à-vis de la société. En revanche, au plan individuel, ils demeuraient fidèles à l’orthodoxie de l’Okina-Do : l’insertion dans la réalité est affaire de chacun et en aucun cas une obligation, la nécessité première demeurant bien l’accomplissement personnel de chaque Taïketshi. L’exemple de Hornst montrait d’ailleurs que des accomplissements individuels pouvaient ne pas être le fait de Monks mais entraîner des conséquences qu’aucun humain sains d’esprit ne pouvait sérieusement ignorer.
Ces opposants, pour la plupart des jeunes gens, se montraient nettement plus violents que l’avaient été les White Monks; mais, dans un premier temps, leur action demeura interne au Tao-Doj et s’effectua en deux directions : d’une part en entrant en lutte contre les White Monks, d’autre part pour convaincre les Yamakutsis de faire évoluer la doctrine et, en bloc, le Tao-Doj. Ces deux actions échouèrent l’une et l’autre. Devant ce double échec, la majorité de ces jeunes Taïketshis choisirent eux aussi, à l’exemple des White Monks, de quitter le Tao-Doj et ils fondèrent les Red Monks, ceux vêtus de rouge.
Les Red Monks demeurent partisans de l’action individuelle plus que collective et de la séparation entre leur Ordre et la société en général. Cependant, ils sont convaincus de la supériorité de leurs principes sur tous les autres. Que ce soit donc sur un plan collectif ou individuel, les Red Monks s’estiment en droit d’agir de façon à accomplir cette supériorité qui ne saurait rester stérilement spirituelle.
Prenant acte de la fin de l’union de ses frères, le Tao-Doj se saborda en 3911 et au lieu des couleurs grises, noires ou jaune pâle qui formaient leur tenue jusqu’alors, ils adoptèrent un bleu uniforme. Cependant, beaucoup conservèrent leurs couleurs grises habituelles.
Les Blue (ou Grey) Monks, ainsi qu’on les appelle depuis lors, sont les plus intellectuels, les plus spiritualistes, les plus obéissants aussi à leur hiérarchie de tous les Monks. Ils sont les conservateurs de l’esprit traditionnel du Tao-Doj et sont souvent, d’ailleurs, assez conservateurs au sens général du terme. Un Blue Monk est quelqu’un qui réfléchit avant d’agir et après avoir agi, sauf pour obéir.
Les trois ordres se détestent cordialement. Cependant, un White et surtout un Blue Monk répugneront à l’affrontement physique direct entre des représentants d’ordres différents, affrontement qu’un Red Monk ne verra aucun inconvénient à solliciter ou provoquer. Il peut aussi arriver que sur un plan individuel, deux Monks d’obédience différente, voire même opposée, s’entendent : les fondements de l’union passée des Monks ne sont pas totalement disparus. Cependant, en règle générale, un Red Monk ne participera jamais à une association avec un Monk d’obédience différente.
Ordre des Red Monks (Nei-Doj)
Le centre des Red Monks est le territoire de K’Chunga, dans la vallée d’Arlve, où se situe le troisième plus grand monastère du Tao Doj, dont ils s’emparèrent au moment de leur scission. On connaît deux autres monastères principaux : Taÿ, en Empire (Silverdawn) et D’Jir en Vizan (Province d’Oth Pelaïg). C’est le plus actif des ordres ; puissance politique établie, il est même reconnu en tant qu’Etat de la Vallée d’Arlve.
Ordre des Blue Monks (Motao-Doj)
Le Monastère central des Blue Monks est l’Antique Pagode de Kiunayama, en Gaïko, près de Juma. C’est le centre historique du Tao-Doj. De très nombreux monastères secondaires sont disséminés partout sur le continent. Cet ordre est celui qui possède la plus grande proportion de Yamakutsis et sans doute aussi le plus grand effectif.
Ordre des White Monks (Amaromo-Doj)
Les White Monks sont organisés en trois grands centres :
– en Occident, le Monastère d’Alba, au nord-ouest de Zevjapuhr.
– en Orient, le Monastère d’Ahierra en Erguña (Empire Naëmbolt)
– en Midi le Monastère d’Aquilera, en Farxel (Haakerland)
Cet ordre est le mieux inséré dans la société et bénéficie de plus d’alliés qu’aucun des deux autres. C’est en revanche le moins nombreux.
Pour la plupart des ordres, jusqu’aux niveaux les plus élevés (XII et au-delà), le combat n’est pas nécessaire ni même le retour à un monastère : l’accomplissement peut se faire de façon spirituelle et individuelle.
Aux hauts niveaux, le combat s’avère nécessaire dès lors que le quota de places est rempli. Ces combats sont purement spirituels chez les Blue Monks, physiques chez les White Monks, et peuvent être mortels chez les Red Monks. Les Blue et White Monks admettent un quota de 4 individus par palier de haut niveau, les Red 3 seulement.
Yamakutsi
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Anciennement tous les Monks. Les fondateurs de la doctrine puis de la pratique s’y associant ou en découlant. Aujourd’hui, c’est un Monk reclus dans un monastère, voué à l’enseignement, la recherche, la méditation. |
Okina-Do
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Ensemble de règles codifiées et écrites qui régissent le comportement des Monks vis-à-vis de toute pensée et de toute réalité. Voie ancienne, voire antique, qualifiée également d’orthodoxie. |
Emiyama-Do
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Voie (karma) personnelle déterminant les actions de chacun ; conception apparue avec la scission des Monks en trois ordres. |
Madân
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Degré (ou niveau). |
Umadân
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Maître ou Supérieur. |
Urmadân
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Grand-Maître |
Doj
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Ordre des Monks. Le Tao-Doj est l’ensemble de la » classe » des Monks. |
Taïketshi
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Monk au sens usuellement donné à ce terme. La dénomination (impropre) de Monk est apparue avec la scission en trois ordres et est considérée vulgaire entre Taiketshis et/ou Yamakutsis. |
Nayatsun
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Arts Martiaux et par extension ensemble de règles et préceptes de vie régissant les rapports entre l’esprit et le corps. |
Kaotsun
|
Disciplines psioniques ou quasi-psioniques. |
Chingwa
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Serment d’appartenance. Par extension précepte d’accord, de cohérence, d’ordre et de loyauté conditionnant l’ordonnancement d’une existence, élément central de l’Okina-Do. |
La liste suivante précise les pouvoirs spéciaux du Monk modifié Dragon Magazine qui a été repris dans la règle « 2 bis » appliquée sur Derenworld. Elle remplace sur ce point l’article du magazine. On rappellera que le monk est une sorte de quasi-psioniciste, ses pouvoirs étant de nature psionique. Ces pouvoirs spéciaux, dont certains lui sont particuliers et/ou surpuissants, sont indiqués ci-après ainsi que suit :
Niveau. Code PHB1. Pouvoir, conditions et description.
1. A: Feign death . This can be done perfectly, as the 6th (or higher) level monk is able to lower his or her body temperature and heart rate. Duration : 2t/level per 24 hrs.
2. B: The mind-masking ability (resistance to ESP) : success = 70% + 2% / level.
3. C: Speak with animals ability as druid spell, 3/day.
4. D:
– Self-healing ability : 1 + 1d4 +1/lvl hit points.
– Immunity to disease also including immunity to haste and slow spells.
5. E:
– Body equilibrium, as the psionic ability, 1/day, duration : 1 round / lvl.
This discipline allows the user to adjust the weight of his or her body to correspond with the surface upon which he or she is. Thus, the possessor can walk upon water, quicksand, mud or whatever. With respect to falling, this discipline has the effect of the magic-user spell, feather fall.
– Mind over body, up to 6 hrs per level.
Supprime les besoins en nourriture, eau, sommeil. Durée max 7 jours. Cependant, si maintenue au-delà de 48 heures, cette discipline nécessite une concentration et l’absence de toute autre activité fatigante. Au-delà de 4 jours, aucune activité, marche incluse, n’est possible. Passée 48 heures, un temps de récupération de sommeil et d’inactivité complète doit être pris immédiatement à hauteur du temps passé à exercer la discipline, sinon le personnage commence à mourir de privation ./ fatigue.
6. F: Empathy, once a day. As ESP spell.
7. G: Invisibility, as the psionic power, 1/day, duration : 1 round / lvl. for 1 turn per level the monk has achieved beyond the 6th.
Permet de se rendre invisible à un nombre de créatures dont les hit dice cumulés ne dépassent pas le niveau du monk. Ne radie pas la magie et ne peut être annulé par la magie.
8. H: Molecular manipulation, as the psionic power, usable against inanimate objects only, once a day. Monks are limited to the 8th level of mastery in this power. Le niveau de reference st celui du Monk moins 4 : au 8e niveau le monk reçoit les 4 premières maîtrises (tissu, cordes, vuirs, bois mince) et aux 4 suivants les 4 correspondantes : 5 : bois normal, fer mince, : 6 : chaîne en fer, acier mince ; 7 : menottes, bois très épais ; 8 : acier ou fer ≤ 1cm d’épaisseur
9. I:
– Resistance to charms, hypnosis : 50% + 5% par niveau de monk au delà du 9e. +4 aux ST vs mental attacks.
– Immunity to poison,
– Immunity to geas and quest.
10. J: Retarded aging : réduit l’âge effectif de 25% ; fonctionne sur les attaques d’âge magique.
11. K: Body control, as psionic ability, 1 / day, 1 turn / level of the monk beyond the l0th. Confère une Damage Reduction contre toutes substances / conditions dangereuses (feu, electricité, gaz, acid, poison, froid…) : DR = niveau du monk / 2 (round up).
12. L: The quivering palm : 1/week. Nécessite une touch attack réussie dans les 3 rounds après déclenchement du pouvoir. La cible doit consister en un être vivant, avoir moins de 2x les hp du monk au moment de l’attaque et ne pas excéder son niveau. La mort survient dans un délai (irrévocablement) fixé par le monk entre 1 seconde et son niveau en jours, no MR, no ST.
13. M: Dimension door, once a day, as the magic-user spell.
14. N: Speak with plants, as a druid spell, 3/ day.
15. O: Mind bar, as the psionic ability, 100% chance o[ success, usable once a week, maximum duration 1 hour per level of the monk. Immunité mentale complète, y compris domination, possession, charmes confusion feeblemind sleep suggestion etc..
16. P: Obiect reading, as the psionic ability, once a day.
This ability enables the possessor to detect psychic impressions left on an object by its previous owner. Thus, by handling an artifact found in a dungeon, the psionic would possibly be able to tell its owner’s race, alignment and probably fate. If the object had a long and legendary history he would have visions of its past, back through history. Not all objects (and certainly not all magical objects) give off these impressions, however.
17. Q: Dimension walk, 1 hour / 2 levels, 1/ day. (beaucoup trop compliqué dans le PHB1). Vitesse de voyage de 3 km / minute (180 km/hr), concentration complète requise, no-fumble dice à chaque turn pour ne pas se tromper de direction sauf si orientation skill à rang I+.
18. R: Astral projection, once a week, as the cleric spell, but only the monk may so travel.
19. S: A premonition of death or serious harm (concrètement injouable). Remplacé par la capacité de modifier une fois par période d’éveil un résultat de dé dommageable au monk : un ST ou check raté ou une attaque réussie contre lui.
20. T: The monk acquires the ability to generate a tower of iron will : 1/day ; duration : 1 rd / level. Le monk et toutes les créatures alliées dans les 10’ reçoivent une résistance de 90% contre toute attaque mentale.
Le monk doit rester concentré pour employer cette capacité et ne peut rien faire d’autre que de marcher lentement (move / 2). Si cette concentration est brisée, l’effet disparaît.
21. U: Plane shift, as the cleric spell, twice a day.